mercredi 24 août 2016

 



la saison avance et les fleurs se raréfient...bonnes à butiner il reste surtout les balsamines de l'Himalaya (ci-dessous) dont les ensembles sont de vraies ruches... de grandes quantités d'abeilles y vont et viennent... (ci-dessus et ci-contre, piéride et abeille sur salicaire)


sariette, origan, serpolet, ont également du succès,
les autres fleurs sont apparemment assez dépourvues de nectar et peu fréquentées...

sariette vivace,


























origan


sariette annuelle,



serpolet,

la jolie épilobe hirsute,



misumena se promène,





























"c'est MON liseron..." petite abeille solitaire a l'air méchante avec ses mandibules, mais elle ne l'est pas...

morelle noire,


























galeopsis peut revêtir différentes couleurs,


une flaque au bord du chemin, mais il faut s'approcher vraiment avec précaution pour qu'elle ne saute pas à l'eau... j'ai essayé maintes fois...


















































euphraise,















































verge d'or,

les papillons sont moins nombreux aussi, le myrtil sur l'eupatoire chanvrine est encore là,

quelques petits argus tout bleus...




























cette poliste disputait la place à ce coléoptère : elle essayait de le mordre à plusieurs reprises, mais guère impressionné il continuait de butiner... la guêpe a ensuite renoncé à le bousculer...
































de plus loin je me suis demandé ce qu'est cette curieuse épilobe... en fait un argus bleu en train de se dorer au soleil...





dérangé, il s'est posé sur une menthe un peu plus loin...




lycope d'Europe,






















































et cette nuit, le renard, habitué des lieux, mais aussi un hôte moins visible, que je pense être un joli chat sauvage...



4 commentaires:

Anonyme a dit…


Très gracieux, le chat...

Tilia a dit…

Vos photos sont toujours aussi belles et vos articles aussi passionnants et enrichissants. Merci.
Concernant l'identification du coléoptère bousculé par la guêpe sur une ombellifère, je penche vers le téléphore livide ou Cantharis livida, mâle, ce qui expliquerait la tête noire...

geispe a dit…

merci de la proposition pour la cantharide. çà m'a un peu motivé :-) pour aller voir de plus près sur le site Aramel http://aramel.free.fr/INSECTES11-4'.shtml et je penche plutôt pour Corymbia rubra (Corymbia rubra femelle, 10-20 mm, pubescence dorée, tibias et tarses rougeâtres, commun en montagne...)? (les cantharides sont longilignes depuis les épaules au bout de l'abdomen, alors que Corymbia et Cie - Cerambycidés ou longicornes - ont des épaules plus larges) ?

Tilia a dit…

Finement observé ! Je n'avais pas prêté attention au profilage des élytres. Autant pour moi.
Vous avez raison, votre seconde photo de cette bestiole (celle où la guêpe s'écarte) ressemble très fort à celle de cette Corymbia rubra femelle.